Crash A320 : retrouver la seconde boîte noire est « la priorité »
Les opérations de recherches pour retrouver la seconde boîte noire de l'Airbus A320 de la Germanwings, qui s'est écrasé il y a six jours dans les Alpes, se poursuivaient dimanche 29 mars. Les conditions dans lesquelles travaillent les gendarmes sont très difficiles : à flanc de montagne, avec des pentes comprises entre 40 et 60°, et sur une zone de près de deux hectares où sont disséminés les débris d'un avion qui a été littéralement pulvérisé. « Il faut être sur place pour se rendre compte de ce que c'est. Il y a une turbine de l'avion qui a été projeté à 400 mètres au-dessus du lieu de l'impact », relate l'un d'eux.
D'ici à lundi soir, normalement, l'aménagement d'un chemin d'accès pour des véhicules tout terrain devrait faciliter l'évacuation des plus grosses pièces de carlingue, et éventuellement l'acheminement de matériel sur place. Retrouver la flight data recorder, qui enregistre toutes les données du vol (vitesse, altitude, trajectoire...), est « la priorité depuis le début », rappelle Yves Naffrechoux, le capitaine du peloton de gendarmerie de haute montagne de Grenoble qui travaille sur la zone.
« Elle est essentielle pour la suite de l'enquête, mais on continue parallèlement et de façon très attentive le ramassage, la découverte des personnes pour qu'elles soient acheminées dans la vallée et identifiées », ajoute l'officier. Les équipes sur place ont, pour l'heure, réussi à isoler 78 ADN différents. Une cinquantaine d'individus travaillent quotidiennement sur les lieux de l'accident qui a coûté la vie aux 144 passagers et six membres de l'équipage présents à bord.
« Il y a des gens qui sont là spécifiquement pour faire de l'identification sur les corps et il y a des gens qui sont plus sur la partie enquête et sur la partie technique, pour retrouver cette boîte noire. Les zones de travail, à un moment donné, sont communes, donc on essaie de ne pas empiéter. C'est un travail collectif entre les différentes équipes », a détaillé Stéphane Laout, l'adjudant-chef du PGHM.
Les opérations de recherches pour retrouver la seconde boîte noire de l'Airbus A320 de la Germanwings, qui s'est écrasé il y a six jours dans les Alpes, se poursuivaient dimanche 29 mars. Les conditions dans lesquelles travaillent les gendarmes sont très difficiles : à flanc de montagne, avec des pentes comprises entre 40 et 60°, et sur une zone de près de deux hectares où sont disséminés les débris d'un avion qui a été littéralement pulvérisé. « Il faut être sur place pour se rendre compte de ce que c'est. Il y a une turbine de l'avion qui a été projeté à 400 mètres au-dessus du lieu de l'impact », relate l'un d'eux.
D'ici à lundi soir, normalement, l'aménagement d'un chemin d'accès pour des véhicules tout terrain devrait faciliter l'évacuation des plus grosses pièces de carlingue, et éventuellement l'acheminement de matériel sur place. Retrouver la flight data recorder, qui enregistre toutes les données du vol (vitesse, altitude, trajectoire...), est « la priorité depuis le début », rappelle Yves Naffrechoux, le capitaine du peloton de gendarmerie de haute montagne de Grenoble qui travaille sur la zone.
« Elle est essentielle pour la suite de l'enquête, mais on continue parallèlement et de façon très attentive le ramassage, la découverte des personnes pour qu'elles soient acheminées dans la vallée et identifiées », ajoute l'officier. Les équipes sur place ont, pour l'heure, réussi à isoler 78 ADN différents. Une cinquantaine d'individus travaillent quotidiennement sur les lieux de l'accident qui a coûté la vie aux 144 passagers et six membres de l'équipage présents à bord.
« Il y a des gens qui sont là spécifiquement pour faire de l'identification sur les corps et il y a des gens qui sont plus sur la partie enquête et sur la partie technique, pour retrouver cette boîte noire. Les zones de travail, à un moment donné, sont communes, donc on essaie de ne pas empiéter. C'est un travail collectif entre les différentes équipes », a détaillé Stéphane Laout, l'adjudant-chef du PGHM.
Crash A320 : retrouver la seconde boîte noire est « la priorité »
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